Logo Vipress
   VIPress.Hebdo du 1er octobre 2003
VIPress.Hebdo du 1er octobre
Conjoncture
Entreprises
Fusions-Acquisitions
Accords
Restructurations
Investissements
R&D
Résultats-Finances
Contrats
Pays
France
Europe
Etats-Unis
Japon
Chine
Asie hors Chine
Reste du monde
Economie
Politique Industrielle
Grands Programmes
Emploi
Nominations
Etudes de marché
Retour VIPress.net
MERCREDIJEUDIVENDREDILUNDIMARDI
Tlcoms-Informatique-Carte puce-Grand public-Dfense-Aronautique-Industriel-Automobile : 45 actus.
Le marché des étiquettes électroniques va tripler en quatre ans

Industriel>Semiconducteurs>Monde>Etude de marché
03-10-2003 10:19:45 :
Véritable serpent de mer de l’industrie électronique, le marché de l’identification RF va-t-il enfin décoller ? Si l’on en croit une étude publiée par WDRG (Wireless Data Research Group), le marché mondial des matériels, logiciels et services RFID devrait croître de 23% par an en moyenne entre 2003 et 2007. En quatre ans, il passerait ainsi de 1 à 3 milliards de dollars, dont plus de 40% pour le seul marché américain. L’étude américaine souligne que la gestion des stocks et de la chaîne d’approvisionnement constituent les débouchés les plus prometteurs de l’identification électronique.

Dans le détail, le marché des transpondeurs devrait croître de 18% par an pour atteindre près de 1 milliard de dollars en 2006. Celui des services de développement et d’implantation d’applications RFID devrait atteindre 986 M$ en 2007. Enfin, WDRG souligne qu’en dépit de la baisse des prix des étiquettes électroniques liée à l’adoption de standards ouverts et à l’amélioration des procédés de fabrication, le marché des transpondeurs UHF devrait croître de 23% jusqu’en 2007.

Ajoutons que lors d’une conférence sur les semiconducteurs organiques qui s’est tenu récemment en Grande-Bretagne, Tetra Pak, le spécialiste du conditionnement des boissons, a indiqué étudier des étiquettes électroniques polymères, rapporte notre confrère Electronics Weekly. Réalisées par impression directement sur le carton de l’emballage, elles permettraient d’abaisser le coût de gestion des stocks de 5 à 10%.

Retour en haut

L’Europe planifie l’abandon de la diffusion en analogique

Grand public>Europe>Politique
23-09-2003 10:53:50 :
L’Europe se mêle de tout. Pour preuve, la Commission européenne vient d’adopter hier une communication sur le passage au numérique. Ce texte constitue un guide pour aider les États membres dans le passage à la radiodiffusion et la télévision numérique, puis finalement de l'abandon de la transmission analogique, tout en voulant respecter les préoccupations du consommateur. Beau programme !

« Nous n'envisageons pas de mesures contraignantes, comme une date unique pour l'abandon de la télévision analogique dans l'ensemble de l'UE ou forcer les consommateurs à acheter des téléviseurs numériques », a souligné Erkki Liikanen, commissaire européen chargé des entreprises et de la société de l’information. « Étant donné que les progrès en matière de télévision numérique varient considérablement entre les États membres, le taux de pénétration dans les foyers allant de 3 % à 40 %, une politique unique au niveau de l'UE serait inadéquate. Mais nous voulons veiller à ce que les politiques nationales de migration donnent aux consommateurs des incitations pour passer volontairement à la télévision numérique.»

Le plan d'action eEurope 2005 invite les États membres à publier, d'ici à la fin de 2003, leurs plans en matière de passage au numérique, y compris une éventuelle date pour l'abandon de la télévision analogique. « Les consommateurs disposeront ainsi d'informations suffisantes pour se familiariser avec toutes les possibilités des nouveaux services de télévision numérique et pour acquérir l'équipement nécessaire », souligne Erkki Liikanen.

Bruxelles ouvre également le débat sur les possibilités de réutilisation du spectre récupéré après l'abandon de la radiodiffusion analogique. « Sur ce point, les avis des acteurs de l'industrie divergent et il sera important d'établir une approche qui tienne compte à la fois du potentiel économique de la libération de spectre et d'autres objectifs d'intérêt public », conclut le commissaire.

Retour en haut

PC portables : HP et Dell creusent l’écart

Informatique>Etats Unis>Japon>Etude de marché
16-09-2003 14:30:37 :
Avantage aux Américains ! Dans la compétition qui opposent les différents fournisseurs de PC portables, -le segment de marché de la micro-informatique qui croit le plus vite-, les fabricants américains sont en train de tailler des croupières aux industriels japonais. L’information, qui s’appuie sur une étude d’IDC, fait les gorges chaudes de la presse taïwanaise. Car derrière les grands constructeurs américains se cachent bien souvent des grands noms de la co-traitance taïwanaise. A contrario, les Japonais font beaucoup moins appel aux sous-traitants et n’arrivent plus à être compétitifs en matière de prix de revient face aux Américains.

HP et Dell sont en effet en train de se livrer à une guerre des prix sans merci pour écrémer le marché des notebooks. Contrairement aux PC de bureau, le marché des portables est en effet concentré dans très peu de mains et la marque du constructeur joue un rôle déterminant dans les décisions d’achat.

Ainsi, selon une étude d’IDC rapportée par DigiTimes, HP s’est emparé de 17,3% du marché mondial des notebooks au 2e trimestre, contre 15,4% pour Dell, 11,1% pour Toshiba, 9,7% pour IBM, 6,1% pour Fujitsu-Siemens et 5,4% pour Acer. HP et Dell pourraient, sur leur lancée, vendre chacun plus de 6 millions de notebooks cette année (soit 35% du marché à eux deux), contre environ 4,5 millions d’unités l’an passé.
En rassemblant les parts de marché des Japonais (Toshiba, Fujitsu-Siemens, Sony et NEC), l’ensemble ne dépasse pas 26,4% au deuxième trimestre contre plus de 35% début 2002. La solution : faire appel aux co-traitants taïwanais ?

Retour en haut

TV interactive : Thomson cède MediaHighway à NDS

Grand public>Logiciels>France>Fusions Acquisitions
15-09-2003 11:26:40 :
Fin septembre 2002, Vivendi Universal, à la recherche d’argent frais, cédait Canal+ Technologies pour 190 millions d’euros au groupe Thomson. Moins d’un an plus tard, le groupe d’électronique grand public aura totalement revendu son acquisition, empochant au passage une confortable plus-value.
Ce week-end, le groupe français a en effet dévoilé un accord avec NDS, filiale du groupe de médias de Rupert Murdoch, pour lui céder, pour 60 M$, MediaHighway, le moteur d’interactivité qui équipe notamment les décodeurs de Canal +. Début août, c’était au Suisse Kudeklski que Thomson cédait, pour 240 millions de dollars, Mediaguard, l’activité d’accès conditionnel de Canal + Technologies qui emploie 200 personnes. Troisième fournisseur mondial de systèmes d’accès conditionnel, Mediaguard équipe 10 millions de décodeurs pour un chiffre d’affaires qui devrait dépasser 60 millions d’euros cette année.

MediaHighway, l’activité logicielle de Canal + Technologies spécialisée dans les solutions pour la télévision interactive (300 personnes), est encore déficitaire. Ce qui explique un prix de cession beaucoup moins important que celui de Mediaguard. Avec NDS, le moteur d’interactivité accède à un parc potentiel de 13 millions de décodeurs. Thomson souligne d’ailleurs un accord plus large avec NDS : les deux parties tenteront d’exploiter au mieux les synergies entre les décodeurs, les modems et les équipements de diffusion du groupe français et les logiciels de l’Américain.

Par ailleurs, un accord de fourniture d’équipements (réseaux de diffusion, appareils d’enregistrements, services de post-production, etc) signé avec News Corp, la maison-mère de NDS, devrait garantir au groupe français plusieurs centaines de millions d’euros de commandes par an.

Retour en haut

Sharp en grande forme semestrielle

Grand public>Semiconducteurs>Japon>Résultats financiers
03-10-2003 10:20:31 :
Rien de surprenant quand on connaît le positionnement du fabricant japonais, présent à la fois sur le marché des téléviseurs à écran plat et sur celui des téléphones mobiles avec capteur d’images intégré, toujours est-il que Sharp vient d’annoncer des prévisions de résultats semestriels remarquées.
Ainsi, son bénéfice net pour la période d’avril à fin septembre devrait-il progresser de 18%, à 27 milliards de yens (près de 210 millions d’euros). Son chiffre d’affaires semestriel a crû, quant à lui, de 12%, à 1090 milliards (8,4 milliards d’euros). Même s’il s’est fait prendre la première place par LG.Philips LCD pour la fourniture d’écrans LCD pour téléviseurs, Sharp contrôle encore plus de la moitié du marché des téléviseurs LCD (évalué à plus de 3 millions d’unités cette année) ; de même, il est très présent sur le marché des photophones, qui pourrait représenter 65 millions d’unités cette année.

Retour en haut

Alstom sauvé ! … mais avec des commandes en chute de 25%

Industriel>France>Europe>Restructurations>Résultats financiers>Politique
23-09-2003 10:55:04 :
Les dirigeants d’Alstom ne doivent finalement pas être si mécontents des remontrances de la Commission européenne, même si l’intransigeance de Mario Monti, en charge de la concurrence, a failli faire capoter le plan de sauvetage du groupe. Le plan de refinancement d’Alstom a en effet été augmenté, passant de 2,8 à 3,2 milliards d’euros. Le renforcement des fonds propres du groupe va s’élever à 1,2 milliard d’euros, réparti entre 900 millions par émission d’obligations remboursables en actions et 300 M€ d’augmentation de capital souscrite par l’Etat, du moins si Bruxelles l’y autorise. S’y ajoutent 500 M€ d’obligations à long terme et 1500 M€ de prêts.

Pour autant, Alstom n’est pas tiré d’affaire. Tout d’abord parce que la publicité autour de ce feuilleton politico-financier a nui à la crédibilité du conglomérat face à ses clients. Les prises de commandes du groupe industriel ont en effet chuté de 25%, à 7 milliards d’euros, lors de son premier semestre fiscal (avril à fin septembre) par rapport à il y a un an. Partant, Alstom précise que sa marge opérationnelle devrait à peine dépasser 1% de son chiffre d’affaires pour une perte nette d’environ 500 millions d’euros.

Le p-dg du groupe a par ailleurs prévenu que la restructuration de l’entreprise risquait d’être douloureuse, avec son lot de suppressions d’emplois à la clé (déjà 5000 suppressions de postes en Europe avaient été programmées avant l’été). Quant à la vente de l’activité Transmission & Distribution à Areva, elle devrait être finalisée prochainement pour 950 millions d’euros. Ce désengagement portera à 2,5 milliards d’euros le total des cessions conclues depuis un an. D’autres actifs à céder devraient porter ce total à 2,7 milliards d’euros, indique Alstom dans le communiqué qu’il a publié hier soir.

Retour en haut

Page 1 sur 8 Suivant->>
  Semaine du 24 au 30 septembre
  UTILISATEURS
  Télécoms
  Informatique
  Carte à puce
  Grand public
  Défense
  Aéronautique
  Industriel
  Automobile
  COMPOSANTS
  Semiconducteurs
  Afficheurs
  Composants passifs
  Microsystèmes/Opto
  Sous-systèmes
  Logiciels
  AUTRES FOURNISSEURS
  CAO
  Mesure & Test
  Production
  Sous-traitance
  Distribution
  Achats
  PENSEES DE LA SEMAINE
  REVUE DE PRESSE
 
© VIPRESS - Soyez le premier informé !
Mentions légales